Blog Trotter
Le trottoir du Charly's.
Henri IV sur sa Place Royale.
Le Défilé des Anglais.
Le parvis des Jacobins.
Ces morceaux d'autres parts scintillants qui laissent des sillages dans les yeux.
Le train, toujours, rempli d'appréhension, puis de fatigue, et de lassitude de revenir à la maison.
Cette impression d'etre le dernier arrivé, le premier parti. Peu de début, et pas d'achèvement. Peu de grappins d'abordage sur mon revers, pas de liens qui me relient à l'ailleurs qui s'efface -- si : les souvenirs, pauvrets gelés dans l'oubli qui gagne. Où j'étais ? Qui j'étais ?
Et pourquoi ne pas repartir toujours, au lieu de revenir ? J'ai l'impression que chaque voyage est le dernier ; qu'il fallait que j'en profite comme du dernier et qu'il me manque presque tout.
Peu de prises pour le bonheur. Ma joie a été.
Henri IV sur sa Place Royale.
Le Défilé des Anglais.
Le parvis des Jacobins.
Ces morceaux d'autres parts scintillants qui laissent des sillages dans les yeux.
Le train, toujours, rempli d'appréhension, puis de fatigue, et de lassitude de revenir à la maison.
Cette impression d'etre le dernier arrivé, le premier parti. Peu de début, et pas d'achèvement. Peu de grappins d'abordage sur mon revers, pas de liens qui me relient à l'ailleurs qui s'efface -- si : les souvenirs, pauvrets gelés dans l'oubli qui gagne. Où j'étais ? Qui j'étais ?
Et pourquoi ne pas repartir toujours, au lieu de revenir ? J'ai l'impression que chaque voyage est le dernier ; qu'il fallait que j'en profite comme du dernier et qu'il me manque presque tout.
Peu de prises pour le bonheur. Ma joie a été.
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