tisdag, februari 24, 2009

Because i said Blog

C'est dingue cette... élévation gratuite et futile que l'on peut avoir juste pendant quelques minutes fugitives à la fin d'un film gratuit et futile, plein de verve et de fraîcheur, vide d'intelligence et rempli d'ingéniosité. Ce métier d'auteur de comédies, tirer les bonnes cordes aux bons moments, placer les lignes de dialogue comme des envois de cordes dans un confortable lit de tubas.
...C'était Because I Said So, n°8 du cycle Mandy Moore.

Il faut donc que j'en parle, surtout qu'il faut faire oublier que j'ai pas parlé des n°5 et n°7, Saved! et American Dreamz, en attendant la review de License to Wed, le n°9. Ca en fait des lignes à propos de comédies ! Mais c'est pas toutes des comandy romantiques, en ce qu'ont peu considérer Saved! et American Dreamz comme des comédies à messages, dans lesquels Mandy Moore troque son rôle de mignonne fille-muffin féminine pour celui de garce dénoncée par le film -- et c'est en cela qu'elle est nécessaire aux deux. Mais plus sur ces deux-là plus tard.

Pour l'instant, un film fille-mère porté par le duo Moore-Diane Keaton (oui, madame Don Michael Corleone), qui fait partie de ces grand-mères hollywoodiennes qui viennent montrer leur peau trop tirée une dernière fois avant de s'évanouir tout à fait.

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