lördag, juni 10, 2006

Juke-blogx (je finirai plus tard)

Suite à une fausse manoeuvre de récupération d’une connerie de Windows (un fichier qui fait fermer la fenêtre dans lequel il est juste quand il s’affiche, mais si tu scrolles pas jusqu’à lui, la fenêtre rest’ouverte... super... super... je découvre les tréfonds de Microsoft, les coins immondes où ils ont jeté toute leur merde de technique de merde), j’ai effacé 9 gig de data mon disque, ce qui fait quand même un peu quand j’en ai que 28 de data.
Un peu plus tard (et mon meuble s’en souvient), j’ai récupéré la liste (de la plupart) des fichiers perdus, et je suis donc en mesure de noter la dernière playlist finie (appelée Jamdong) (oui, je donne un titre à mes playlists) que j’avais.

J’ai été très impressionné par la BO d’Elizabethtown, et c’est pour ça que cette playlist-là en tire beaucoup... Mais c’est aussi la playlist de mon retour de Jamaïque, et donc y’a ça. Et puis quelques autres BO et quelques autres trucs à droite à gauche. J’aimerais dire que c’est représentatif de mes autres playlists, mais là non, y’a vraiment beaucoup d’extraits de BO, et beaucoup de la même.

Enfinbon, la voilà :

Assassin – Anywhere we Go ; une chanson de Jamaïque, du dancehall... souvenirs, hein, pasque sinon elle est pas si bien que ça... mais c’est représentatif du dancehall : un beat de merde, une mélodie de merde, un truc tout con
Baby Cham – Ghetto Story ; une autre chanson de Jamdong, du dancehall avec le beat crétin caractéristique... Ca se passe de commentaire, sauf que bon, pour le fun, ça peut le faire (moi je me demande de plus en plus si l’esprit collectionneur justifiait vraiment de prendre ce morceau)
Baha Men – Rat Race (choir version) ; de la ST du film Rat Race. une déconneuse, j’aime bien, la version sans les choeurs est moins bien ; les Baha Men c’est les types qu’ont fait Who Let the Dogs Out, vous savez, le truc où je balance la tête comme un chien-de-plage-arrière... non vous voyez pas ? tant mieux...
Bananarama – Cruel Summer ; sais plus pourquoi je l’ai prise celle-là... kitsch, ouais, mais un peu plus. j’aime bien, si, c’est vrai, je vais pas en dire autant de toutes les Bananarama, mais bon, celle-là j’aime bien. pas trop péteuse pour une chanson des Eighties
Barrington Levy – Black Roses (revolution riddim) ; ça vient de la Jamaïque aussi, et ça par contre c’est bien. c’est un dub, un truc méditatif et goûtu, puissant et bien corsé comme une tablette de 92 %
BB King & Eric Clapton – Hold on I’m Coming ; encore un duo bluesy des deux Enormes de la guitare, ça vient d’une ST mais je sais plus laquelle
Black Sabbath – Iron Man ; vous savez, le hard, ça vient de quelque part, quand même... par exemple ce proto-hard des Black Sabbath, le groupe dont ils parlent dans Presque Célèbre. après sélection, c’est celle-là que je préfère. pasque quand même, je suis pas très hard, même proto
Busy Signal – Not Going Down ; du dancehall de la Jamèque encore, Busy Signal c’est un ptit jeune qui monte qui monte qui monte... celle-là c’est une de ses moins typées dancehall, du coup je supporte beaucoup plus... m’enfin on appellerait ça du R ‘n B quand même ici
Carpenters – Close to You ; l’originale d’une chanson de la soundtrack du film So Close... oui, l’est bien le film. la chanson... ben un peu moins... c’est très amérique profonde des belles années... je veux voir les knickers et la raie sur le côté.
Crusader KingsBlack Shield White Cross, Brotherhood of Cluny, Crusader Kings, Dance with the Reaper, Eastern Wind, El Cid, Menu, Scorpion in the Sand, War Without End ; de la ST du jeu du même nom, un peu world, un peu filmisante, un peu médiévisante... ça rend bien en ambiance, quand je fais aut’chose que d’écouter de la vraie musique
Damian Marley – Welcome to Jamrock, Ghetto Youth, Beautiful ; le fils de Bob Marley sort des tubes assez ignorés... du nouveau reggae bien rafraîchissant. les deux premiers sont assez rèches, assez puissants, le dernier est plus léger, plus joyeux, avec des paroles vous voulez même pas comprendre
Denez Prigent - Iwan Gamus, P’Edon war Bont an Naoned ; un jeune (enfin...) chanteur breton, un peu spé quand même, légèrement électro de temps en temps, heureusement pas sur celles-ci... Denez Prigent, vous connaissez peut-être pasque c’est lui qui chante la dernière chanson, inoubliable, du film La Chute du Faucon Noir. de la musique bretonne, quoi. et oui, la voix nasillarde et grinçante, on arrive à apprécier beaucoup après un temps d’adaptation
Denez Prigent & Dao Dezi – Hebrides ; j’ai encore ces relents de celtillonnisme bâtard dans le sang et dans l’oreille, et dernièrement j’y suis revenu. Plus particulièrement sur la bretonne, ce qui est particulièrement rare pour moi. Denez Prigent, il a la voix nasillarde, Dao Dezi, il fait de l’électronique (mais là il se retient)
Doctor Hook – Cover of the Rolling Stone ; une chanson bien rock des années 60-70 pour bien se souvenir que c’était bien, en fait, le rock, dans le temps... le thème est marrant, le refrain bien léché, c’est catchy. à noter que je préfère quand même l’autre version présente dans la playlist, mais que pour une raison inconnue, je garde les deux
Don Drummond & Beverley’s All Stars – Dragon Weapon, Man in the Street ; Don Drummond, le roi de la trompette jamaïquaine, biographie tragique, génie complètement taré. la musique, ça va. je suis pas fan, mais ça va.
Drive-by Truckers - Easy on Yourself, Goodbye, Gravity’s Gone, My Sweet Annette ; du rock Sudiste qu’il est bien, assez rétro-hommage, une voix de grande star (sisisi, ils ont tous la même voix), un peu nerveux par moment, tout ce qu’il faut. La meilleure c’est quand même Gravity’s Gone
Elton John – My Father’s Gun ; bah voui, des fois y’a un sir Elton qui se glisse... je sais pas c’est de quelle époque mais ça rend bien. j’aime bien le côté nostalgique, un rien énervé, un rien rêveur... ça s’écoute bien. de la ST d’Elizabethtown
Fanfare Ciocarlia – 9 pistes ; 9 pistes dont je me souviens pas les noms de l’album dont je me souviens pas du nom de la fanfare roumaine qu’est connue, normalement. l’album s’occupait surtout de reprises de thèmes universels avec ste putain de puissance de cuivre que ça vous donne une fanfare roumaine, un truc il faut pas se demander comment ils ont assez de poumon pour faire ça. c’est vite, ça sautille, c’est joyeux, ça dansotte, c’est kwl la vie
Fr Davis – Words don’t Come Easy ; héhé, oui, ça c’est vraiment le côté kitsch. et puis j’aime bien la musique nerveuse et le chanteur planant en même temps
Funeral For a Friend – Street Car ; smarrant le nom en abrégé ça fait FFF... amusant, hein ? bon sinon c’est un truc à moitié punk qui dérange un peu, il en faut aussi... pas beaucoup d’atomes crochus mais je me souviens pas de pas l’avoir aimée...
George Friedrich Händel – Arrival of the Queen of Sheba ; pasque j’ai des références aussi ! un air superconnu qu’ils vous resservent dans 92 films
George Gershwin– It Ain’t Necessarily So (Porgy and Bess) ; ah, ça aussi c’est des références, mais c’est beaucoup plus intéressant ! de la comédie musicale jazz composée par le plus grand compositeur classique de jazz, nespas, avec une chanson bien légère comme il faut
Glenn Frey – the Heat is On ; des Eighties, un peu fofolle comme les Eighties, kitsch comme les Eighties, tout les Eighties
Gyptian – Mama ; étoile montante du roots reggae à la Jamaïque, Gyptian chante souvent des trucs langoureux qu’en finissent pas et qui cassent rapidement les couilles (les miennes), comme le roots reggae d’ailleurs ; mais au milieu on trouve du roots reggae plus haut que la moyenne, du genre celui-là ; une bonne voix, ce type
Harry Belafonte – Shake Shake Senora ; allez, vous connaissez Harry Belafonte et sa Banana Boat Song... et cette chanson-là est dans la bande de Beetlejuice, mais je l’ai appris après. un truc caraïbe folklorique (il vient de Haïti mais il a fait le tour de la région) comme on en faisait dans le temps d’avant le temps de maintenant
Hot Chocolate – You Sexy Thing ; disco, quand tu nous tiens... une musique souvent prise dans les films, pour faire bien... patt d’eph connexxion
Jean Ferrat – la Montagne ; ça c’est une référence, et puis un classique du patrimoine sonore français... sur lequel je chie copieusement la plupart du temps, mais là, private joke... dédicace à Gre
Jeff Finlin – Sugar Blue ; de la ST de Elizabethtown... Je crois que ma vocation c’était du blues et du blues et du blues et du blues (...et de la country)... Et puis il y a ce son de guitare par derrière (pas l’ukulele), ça me fait penser aux meilleurs blues de Yoko Kano pour Cowboy Bebop... Je crois qu’un jour je vais aller me retirer quelque part où y’a beaucoup de place et je mourrai au bout de cent ans là-bas d’avoir trop écouté de bonne musique... et on m’enterrera dans une contrebasse, et sur mon ventre, pour le voyage, une guitare
Jimmy cliff – Many Rivers to Cross & The Harder They Come ; pasqu’il faut se souvenir qu’avant de chanter Reggae Night et de se convertir à l’Islam, Jimmy Cliff était queuqu’un de sérieux qui faisait même de la bonne musique – je veux dire, bonne. Déchiré façon rebelle popu, il jouait dans The Harder They Come, et dans la BO, il signait deux tubes de ce qui n’était pas encore du reggae...
Junior X – Plead my Cause (original version) ; et pour enchaîner avec Jimmy Cliff, quoi de mieux que ce tube de déchiré façon rebelle popu de maintenant... Un reggae tiré du cru, de Jamdong ; sans le beat dancehall rajouté plus tard
Kate Bush – Running Up That Hill ; j’ai cette chanson en plusieurs exemplaires dans plusieurs playlists, et si je me répète, c’est que j’aime par-delà ce qu’il faudrait. La compagne de Peter Gabriel chantait un truc bien dans son style (façon Solsbury Hill... c’est toujours une question de colline), nerveux, stressé, mélancolique... repris par Placebo, un peu plus vers maintenant
Lindsey Buckingham – Shut Us Down ; peut-être l’une des chansons que je préfère dans toutes mes playlists, c’est en tout cas un de mes gros crushs du moment ; une guitare parfaite en arpèges maestriant, une voix tendre et rageuse, des larmes qui coulent dans le micro, une colère contenue et aimante, un souffle mystique (presque religieux, quoi) qui se déverse au milieu des cordes cristallines qu’on sent presque claquer... Composé et écrit pour Cameron Crowe pour son film Elizabethtown par un ex des Fleetwood Mac (qui ont plusieurs cordes à leur guitare dans ce style)
Lynyrd Skynyrd – Freebird ; pasqu’il n’y a pas de doute qu’Abraham Lincoln et Gus Van Sant ont la même importance tant philosophique qu’historique... Le premier hit du premier album de Lynyrd Skynyrd ([leeh-nerd skeehnerd]), plein de Sud comme on en fait plus ; ça sent l’esclavagiste peu convaincu et la fureur de (sur)vivre entre le Vietnam et le conservatisme. Le morceau est un hymne funéraire, entre country, rock et blues, et ça commence piano, ça finit rugissant, vrombissant, ce qui est la meilleure forme d’hymne funéraire que je connaisse ; la clôture est une série de soli époustouflants ; peut-être les meilleurs que je connaisse (mais ça tire pas loin)
Machel Montano & Doug E Fresh – We Not Giving Up ; un petit peu de dancehall supportable venu tout droit de Jamdong ; Machel Montano est une personnalité à part il paraît
Maria Callas – Habanera from Carmen ; pasque j’ai de la culture, encore & toujours (mouais)... J’aime bien la Habanera, mais faut dire que je supporte pas très la Callas – une prise de position qui me vaudrait d’être pendu et saigné à blanc dans certains domiciles de ma connaissance
Miriam Makeba & Harry belafonte – Malaika ; petite chanson des îles pour transpirer un poil en s’imaginant en train de boire un cocktail givré dans une demi-coco, sable fin, le long drink vire à l’apéro
Miriam Makeba – Pata Pata (original version), Click Song ; ah pasque vous pensiez que Pata Pata ça datait de Coumba Gawlo ? Voilà l’original de Pata Pata par Miriam Makeba, Xhosa, et y’a même l’explication de ce que c’est, le Pata Pata ; bonumeur, moi je dis, bonumeur ; la Click Song est une chanson traditionnelle xhosa, qui est célèbre pasque les Anglais arrivent pas à faire claquer, claper, et cliquer leur langue... Donc c’est une chanson en clapements de langue... super, hein... moi elle commence à m’énerver...
My Morning Jacket – Where to Begin ; de la BO d’Elizabethtown, rock bluesy, très rêveur, voguant, avec des slides de guitare façon ukulele, mais en sérieux, le chanteur est bon avec des échos de REM dans l’oreille... j’aime bien, foutre, j’aime bien ce genre de musique...
Nancy Wilson – 60b ; un petit morceau tout court à la guitare, pour la BO d’Elizabethtown... doux & sincère
Nena – 99 Red Balloons ; aaaaaaah... là on parle sérieusement ! Un truc bien vraiment kitschouille du fin fond des années 80, un groupe allemand avec une chanteuse genre Lola avec des cheveux bien longs en pétards, avec un gros cuir de biker sur le paletot ; la chanson parle de paix, de paix, merde, et de faire tomber ce putain de Mur à la con ; si c’est pas une caricature, ça... Non, non, c’est représentatif, et tellement que la chanson est vraiment bien foutue : de l’électronique ploïnk-ploïnk made in Yamaha, une refrain catchy, tout du bon pour me faire tripper... euh... tout seul :(
Patty Griffin – The Long Ride Home ; du folk-rock voix-guitare tiré de la ST Elizabethtown encore, mais à chaque fois c’est un peu différent... Ici c’est le slide de thème (sisisi) avec le slide en laiton (le tube en métal qu’on met autour du doigt), nerveux, mais songeur quand même... et tout s’enchaîne comme il faut
Peter Green & Rory Gallagher – Leavin’ Town Blues ; encore un blues mais là on change de coin, c’est deux vieux monstres sacrés du rock irlandais (y’a pas que Bono dans la vie), c’est vraiment comme je l’entends, avec vraiment senti, et y’a tous les différents sons de guitare que j’attends, et des guitares, y’en a plein
Pierre Barouh – Ce N’est Que De L’Eau ; vlà, j’en avais marre que mon père chante toujours trois paroles d’une chansons que je connaissais pas, alors j’ai dl... maintenant je connais... que voulez-vous, c’est de la variétoche française, mais je connais le rengaine depuis que j’ai quatre ans, alors... en un sens, j’y peux rien...
Poison – Cover of the Rolling Stone ; deuxième reprise du morceau (voir plus haut, Dr Hook), celle-là en fait je la préfère, elle est plus rigolote, plus moderne aussi, un peu plus bruyante, et les voix font vraiment rockers crado bikers californiens, ça colle bien
Rachmaninoff – Piano Concerto no. 2 ; alors ça, c’est de la classique, ouaiouais,
Ryan Adams – Come Pick Me Up
Shaggy – broadway
Stereophonics – as long as we beat the english
Stillwater – fever dog
The Hollies – Jesus Was a Crossmaker ; la musique d’ouverture d’Elizabethtown, ça me rappelle à la fois les Beach Boys et les Blind Boys of Alabama, les Temptations et les groupes britanniques en ‘The’... Mais c’est ptêt l’article ‘the’, justement... C’est doux, assez amer, et symphonique... Une bitter-sweet symphony, en gros
The Hombres – Let it Out (Let it All Hang Out) ; rock très, euh, très comme ça, quoi, je sais pas trop comment dire, très Sixties, avec un organ dans le fond et des gens qui clapent dans leurs mains... Son pur, petit ligne entêtante, pour tous vos road trips dans le Midwest. De la ST d’Elizabethtown
Tina Turner – Simply the Best ; des fois on fait dans le gros tube qu’était à la mode, ouais... Je ne peux pas dire que je connaisse Tina Turner, mais celle-là c’est ptêt ma préférée. Disons que la ligne musicale est intéressante, même.
Tokyo godfathers – Doki Doki no Tema 2, Gin, Hana saa Violin wo Kikoerukou, Hurousha no tema, Ikken rakuchaku, Jiken, N°9, Sanningumi ; les Japonais ont le pouvoir & le talent de refaire du neuf avec de la world, et de faire de la musique de partout en renouvelant totalement le truc ; ce sont des caméléons de la musique, des gens qui viennent de l’intérieur de la chose... Ici c’est une sélection de la soundtrack du film Tokyo Godfathers, par Keiichi Suzuki, et les Moonriders ; des petits thèmes autour d’une minute, style... européen flamboyant, belle époque, carillons alsaciens et flonflons parisiens, et surtout la reprise de l’Hymne à la Joie... en japonais... C’est positif à fond, c’est rigolo, c’est bien fait, c’est facile à écouter, c’est expressif... vraiment du bien, du bon, du japonais
Tom Petty – It’ll all Work Out, Square One, Learning to Fly ; Tom Petty est en passe de devenir mon chanteur préféré... Bien sûr, je le connaissais depuis longtemps, en fait c’est un des premiers artistes que j’ai téléchargé en 2000 pour My Back Pages où il chantait aux côtés de Georges Harrison, Neil Young, Eric Clapton et Bob Dylan... bah avec ça si c’est pas du beau monde ! mais je le connaissais pas encore bien en solo... Alors là Elizabethtown m’a ouvert les yeux (les deux premiers sont de la BO), et j’ai continué sur la lancée... C’est du rock dylanesque (la comparaison l’est pas de moi), les trois morceaux là sont parfumés country, c’est lumineux mais nostalgique, c’est entraînant mais on a plutôt envie de soupirer profondément avec un sourire doux-amer, c’est pas triste, c’est pas joyeux, c’est... c’est... en paix... Des paroles intelligentes, qui tombent dans le mille, des guitares scintillantes avec des notes et des accords bien précieux, bien là où il faut... Ma préférée des trois doit être It’ll all Work Out
Toots & the Maytals – 54-46 that’s My Number ; un hit du pré-reggae repris d’innombrables fois, un truc bien entraînant, du vieux, du roots, du chaud.
Vangelis – le Dernier des Mohicans ; Vangelis c’est pas inventé, hein, c’est le diminutif de son prénom Evangelos... Et le type n’a pas fait que des la musique électronique dans les années 80-90, du genre Chariots de Feu, l’Apocalypse des Animaux, l’Opéra Sauvage, 1492... Il a aussi joué du rock avec Demis Roussos (sans blague... groupe Aphrodite’s Child) et fait des musiques de film beaucoup plus... classiques. C’est avec des cordes bien foutues, très musique de film, que commence la thème du Dernier des Mohicans, et c’est avec des cornemuses que ça finit... Tout ce qu’il me faut, quoi.
Joseph Kilna McKenzie – Sgt. McKenzie ; on finit par du lourd, une chanson traditionnelle écossaise de la BO de We Were Soldiers,