La famille, la vie, la mort, la famille, les filles, l’amour... ...et puis la famille... (Elizablogtown II)
Un post encore sur Elizabethtown, pasque maintenant que je l’ai vu plusieurs fois je le mûris. Et puis, il est plus si bien que ça, mais il est encore mieux. Je vois mieux ses défauts, ses niaiseries, ses longueurs, je n’en apprécie que plus ses qualités. Je le goûte plus, en sachant qu’il n’est pas parfait. Il est imparfait. Et c’est parfait comme ça.
Plusieurs trucs pour lesquels le film a juste la séquence qu’il faut
* la réunion de famille où on connaît personne, mais que bon, c’est inconfortable, mais bon... c’est... familier. Accueillant. Et puis confortable, à la fin. « Et le vieux monsieur il m’a dit qu’on irait à la pêche un jour ensemble. »
* les conversations téléphoniques nocturnes sans fin que t’as un cancer des deux oreilles en en sortant (pasque tu t’es dit que changer d’oreilles ça sauverait les deux)
* la voiture au petit matin après une nuit blanche ; c’est dur de rester concentré et de pas penser que t'es dans un film, dans un rêve, dans les vappes, enfin tout mais pas ici et maintenant ; et de laver la fatigue qui s’accumule dans les épaules, sur les joues, le front, dans la nuque
* et la vérité pourrave qui dit qu’on ne doit pas être copain avec son fils.
Et puis aussi les chaussettes immondes qui changent de couleur entre les plans, et les urnes funéraires avec Kiss Forever gravé dessus.
Y’a aussi ces increvables vérités sur les personnes de remplacement ; le foirage de la gamine qui veut « la chance d’être amis pour le restant de sa vie », c’est-à-dire que non, elle veut pas de ta gueule contre sa gueule, et le foirage suivant du « ah bon, y’a rien ? » et... et... et c’est ça qui nous fait vivre, c’est ça qui fait nos presque-romances... A nous... les autres...
Et c’est pour ça que je le garde près de mes yeux, ce film.
Et pour plein d’autres trucs.
Plusieurs trucs pour lesquels le film a juste la séquence qu’il faut
* la réunion de famille où on connaît personne, mais que bon, c’est inconfortable, mais bon... c’est... familier. Accueillant. Et puis confortable, à la fin. « Et le vieux monsieur il m’a dit qu’on irait à la pêche un jour ensemble. »
* les conversations téléphoniques nocturnes sans fin que t’as un cancer des deux oreilles en en sortant (pasque tu t’es dit que changer d’oreilles ça sauverait les deux)
* la voiture au petit matin après une nuit blanche ; c’est dur de rester concentré et de pas penser que t'es dans un film, dans un rêve, dans les vappes, enfin tout mais pas ici et maintenant ; et de laver la fatigue qui s’accumule dans les épaules, sur les joues, le front, dans la nuque
* et la vérité pourrave qui dit qu’on ne doit pas être copain avec son fils.
Et puis aussi les chaussettes immondes qui changent de couleur entre les plans, et les urnes funéraires avec Kiss Forever gravé dessus.
Y’a aussi ces increvables vérités sur les personnes de remplacement ; le foirage de la gamine qui veut « la chance d’être amis pour le restant de sa vie », c’est-à-dire que non, elle veut pas de ta gueule contre sa gueule, et le foirage suivant du « ah bon, y’a rien ? » et... et... et c’est ça qui nous fait vivre, c’est ça qui fait nos presque-romances... A nous... les autres...
Et c’est pour ça que je le garde près de mes yeux, ce film.
Et pour plein d’autres trucs.
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