lördag, augusti 26, 2006

everybody knows that the nerd is the bird - le test

Un post du blog de Raphink pointe vers un test de Okcupid!, via le blog de jpatrick.

ce test sert à découvrir si on est un dork, un nerd ou un geek. Termes définis comme suit :
A Nerd is someone who is passionate about learning/being smart/academia.
A Geek is someone who is passionate about some particular area or subject, often an obscure or difficult one.
A Dork is someone who has difficulty with common social expectations/interactions.


soit

Un nerd est quelqu'un qui se passionne pour la connaissance/être intello/les savoirs.
Un geek est quelqu'un qui se passionne pour un domaine ou un sujet particulier, souvent obscur ou difficile d'accès.
Un dork [un con] est quelqu'un qui a des difficultés avec les interactions/conventions sociales usuelles.

Ce qui, plus ou moins, ne contredit pas la classification du post précédent.

Bon, le résultat c'est que je suis un
Modern, Cool Nerd
65 % Nerd, 65% Geek, 39% Dork

For The Record:
A Nerd is someone who is passionate about learning/being smart/academia.
A Geek is someone who is passionate about some particular area or subject, often an obscure or difficult one.
A Dork is someone who has difficulty with common social expectations/interactions.
You scored better than half in Nerd and Geek, earning you the title of: Modern, Cool Nerd.

Nerds didn't use to be cool, but in the 90's that all changed. It used to be that, if you were a computer expert, you had to wear plaid or a pocket protector or suspenders or something that announced to the world that you couldn't quite fit in. Not anymore. Now, the intelligent and geeky have eked out for themselves a modicum of respect at the very least, and "geek is chic." The Modern, Cool Nerd is intelligent, knowledgable and always the person to call in a crisis (needing computer advice/an arcane bit of trivia knowledge). They are the one you want as your lifeline in Who Wants to Be a Millionaire (or the one up there, winning the million bucks)!

Congratulations!


Et pour la curiosité, Raphink est un
Pure Nerd

avec
78 % Nerd, 34% Geek, 47% Dork

Avoui, lui c'est un Linussien sévère...

söndag, augusti 20, 2006

more to come...

dans moins d'un avenir post-futur :

item, le site qu'il est à moi
item, un post sur les blogs (récupéré d'il y a un mois)

ces derniers jours j'ai été plus qu'actif, puisque j'ai récupéré ma bécane, réinstallé XP et installé Kubuntu (avant j'avais Ubuntu). En plus, j'ai essayé de suivre les posts sur Strike to Stun, j'ai bossé la playlist du mariage de mon frère, et puis je suis sorti, au Bombardier, chez Drey, au Corcoran, au Purgatoire, passé la nuit chez X-Lor, et une soirée chez le Rical.

Blogpaedia

deux petites définitions personnelles :

sagesse : savoir-faire pratique qui concerne la vie
aménager : construire mais aussi détruire, faire mais aussi laisser faire

tisdag, augusti 08, 2006

Everybody knows that the nerd is the word

Plusieurs termes qui ont plusieurs sens… …et tous le même sens.

geek : un geek tout d’abord… un geek est un individu qui, à cause d’une expertise et d’un grand intérêt dans un domaine scientifique, technologique ou technique, typiquement l’informatique, manque de vie sociale. Le domaine d’intérêt peut être ajouté après (ou avant en anglais) le terme geek : history geek, music geek, movie geek, etc. etc.. Sans rien, c’est très-souvent un computer geek. Le geek a échangé son développement intellectuel dans son domaine de prédilection contre le développement de ses compétences sociales, communication, mode, forme physique ou intérêt généraux.
Plus le terme a été accepté et revendiqué, plus le sens s’est élargi, principalement dans le sens d’une vulgarisation : un geek, c’est quelqu’un qui se passionne pour quelque chose. C’est un fan, ou un obsessionnel. Plus souvent, c’est quelqu’un qui se passionne pour les nouvelles technologies, principalement Internet.
Comme exemple de la forme informatique du geek, voir thinkgeek, ou geekcorps.

nerd : au début, c’est un geek. Et puis, c’est plus qu’un geek : c’est le geek parfait, avec des lunettes, un pull en laine en été et un pantalon trop court. Et puis, selon Ricou, c’est un geek spécialiste : c’est quelqu’un qui n’a d’intérêt que pour des formes étroites de l’informatique : par exemple, la programmation, le hardware, Linux, le burn, etc.. Bien sûr, il s’en trouve pour dire que ça c’est un geek, et qu’un nerd, c’est ce qu’on a dit être un geek plus haut… Mais je trouve plus souvent la distribution des rôles dans ce sens-là.
J’ai trouvé un sens plus précis et plus large à la fois dans des webcomics comme Something Positive, Queen of Wands ou Home of the Strange (par exemple dans le strip 26). Un nerd est un geek qui maîtrise (et impose à son entourage) un nombre de canons ou de mythos de science-fiction ou de fantasy, typiquement Star Wars, Star Trek (surtout pour les anglophones, on les appelle Trekkies), Stargate, Babylon 5, les superhéros comme Spiderman ou autres Marvels, le Seigneur des Anneaux, Lancedragon, les jeux de rôle (Dungeons and Dragons), et autres jeux (Magic :The Gathering surtout). Une autre forme est spécialiste de Buffy contre les Vampires, Angel, le jeu de rôle Vampires : la Masquarade. Il couple à ça un intérêt non dissimulé pour l’informatique et Internet, les jeux online. Il fait partie d’une subculture plus serrée que celle des geeks.

slashdot : ça c’est un terme que j’ai créé d’après slashdot.org, pour désigner un individu passionné par l’informatique, son côté technique, et plus précisément les systèmes non commerciaux comme Linux (le software qui propulse le site est sous Licence GNU). Le sous-titre du site est « news for nerds (…) », soutenant la définition Ricou du nerd.

gamer : un gamer est quelqu’un qui a échangé ses compétences sociales pour des compétences de jeu. Originellement, il désignait les joueurs de jeu de rôles, de wargames, et de jeux de plateaux, donc des joueurs de jeux de société (ce qui est contradictoire). Par extension, le terme en est venu à désigner avant tout les joueurs de jeux vidéos et informatiques.

otaku : nom japonais qui désigne, en Occident comme en Orient, un geek qui se passionne pour les manga, ou les anime.
Du corpus de mythos cyberpunk, notamment Shadowrun et William Gibson (fondateur du cyberpunk, dans son roman Idoru), j’élargis le sens d’otaku et j’ajoute : geek qui passe son temps sur Internet, jusqu’à devenir une entité plus présente online que IRL (in real life).

Allez donc voir
L’entrée Wiki pour geek, pour nerd, pour otaku, pour gamer
L’origine du mot nerd

Everybody knows that the bird is the word

Y’a une expression en anglais qui me botte particulièrement ces temps-ci, c’est « to win by a landslide », qui se traduit par « remporter une victoire écrasante », comme dans des élections. En fait, « landslide » désigne (un glissement de terrain et) une grande majorité ou une entrée au pouvoir.

Ce qui me fait poster sur les moyens de traduire anglais/français/anglais, ou au moins de comprendre ceu quya marqué, là…

La meilleure manière de chercher le sens d’un mot, selon moi, c’est de chercher dans un dictionnaire de cette langue. Evidemment, on court le risque de tomber sur un autre mot dont on connaît pas le sens, mais ce risque est réduit, et d’autant réduit si on fait les recherches successives. Et en plus on apprend d’autres mots, du coup.
Le meilleur moyen d’obtenir une définition anglais/anglais, c’est Answers.com. Il fait la synthèse d’une bonne dizaine de dictionnaires au moins pour les plus courants, dont des spécialisés. Ces dictionnaires sont plusieurs de la Houghton Mifflin Company (The American Heritage Dictionaries, le thésaurus, le dictionnaire médical...), l’Encyclopaedia Britannica, l’encyclopédie de la Columbia University Press, WordNet, la Wikipedia, le Word Tutor de la eSpindle Company, le dictionnaire de la banque Barron’s, l’encyclopédie légale Thomson Gale… L’équipe d’Answers.com donne aussi des synonymes et des antonymes.
Il est à noter que, en ce qui concerne la Wikipédia au moins, il faut parfois aller directement sur le site parce qu’Answers.com n’indexe pas tout, ou peut-être n’indexe pas au jour le jour ; du coup, on rate parfois un mot bien rare. Dans le doute, on peut aller faire une recherche directement dans la base Wiki.

Un autre dictionnaire utile, qui n’est pas utilisé par Answers.com, est l’Urban Dictionnary, un dictionnaire user-based qui donne des définitions de termes et expression vulgaires, modernes, argotiques, etc… Le fait qu’il soit user-based a ses avantages et ses inconvénients : d’une part, il y a vraiment beaucoup d’expressions, d’autre part, chacun peut y mettre le sens qu’il croit avoir compris. Le désavantage est limité puisque les définitions sont l’objet d’un vote, et donc on peut voir combien d’users sont d’accord avec une définition donnée.

La deuxième manière de traduire, c’est de chercher la traduction. Pratique, hein ?
Pour ce faire, Answers.com a aussi la réponse : il utilise le dictionnaire Wizcom, qui est assez utile, bien que lapidaire. Pareil pour les sites de traduction : le légendaire BabelFish, mais aussi Reverso, translation.langenberg, et tous les autres qu’on trouve en googlisant “translation french”.

Pour les deux manières, je fais encore confiance au dictionnaire de l’université de Cambridge, dictionary.cambridge, qui a trois types de corpus, le Learner’s/Advanced Learner’s qui est un dico anglais/anglais, le American English, l’Idioms, et le Phrasal Verbs pour les différents Anglais mondiaux et leur usage quotidien, et les Klett Compact pour les traductions anglais/français/anglais et anglais/espagnol/anglais, le deuxième étant le plus fourni.
Enfin, queutchos que je pratique pas trop, le Wiktionnaire… pas d’avis dessus encore.

Et enfin, il ne faut pas sous-estimer Google comme moyen de traduction. Taper un mot ou une expression et voir les résultats met souvent sur la bonne piste, ou donne un sens général du mot ou de l’expression. Pour des choses plus visuelles (ou dans le doute), une recherche dans l’index graphique (‘images’) est souvent aussi un bon choix. De même, une recherche kelkoo ou autre site de vente peut donner de bons résultats.

Here you are ! twas my tu’pence on translation surfing !

söndag, augusti 06, 2006

Blogstalgicware, part deux

Un autre exemple serait la série des Ultima. Ultima VI était un modèle de rpg en 2d pseudo-isométrique, avec un système de nuits et de jours, un monde détaillé, une party de NPCs autour du PC, des dialogues par mots-clefs, et les personnages atttachants des versions précédentes du jeu. Ultima VII est encore plus : il reprend les principes de base d’Ultima VI, mais avec des améliorations qui l’ont propulsé dans la légende : des graphismes de toute beauté (les oiseaux, les vagues, l’équipement des personnages apparaissant à l’écran), un moteur de combat en realtime remarquable (l’écran tournant au rouge quand le PC se faisait blesser, comme un ‘voile rouge’), une musique épique et mémorable, mais surtout un monde extraordinairement fouillé et crédible, une quête mystique centrée autour de la symbolique hindoue et chrétienne, une interactivité monstre avec les détails du monde, une satire de la scientologie et de vraies enquêtes autour de meurtres mystérieux, une système de magie intelligent, et surtout ce sentiment que le monde vivait indépendamment des quêtes du joueur, en fait, on pouvait survivre indéfiniment en exerçant un métier comme boulanger, forgeron ou fermier : bref, un vrai travail d’approfondissement. Ultima VIII, maintenant reprend le moteur, avec tous ses détails et ses merveilles, mais… mais le PC se retrouve tout seul, il faut maintenant être adroit pour passer des obstacles physiques (comme par exemple sauter de pierre en pierre), le scénario est perdu entre ‘on ne vous dit rien’ et ‘vous verrez plus tard’, le thème général est plutôt du hack ‘n slash. En gros, en changeant de monde (et de dev team), le jeu avait presque tout perdu de son attrait. Je ne connais pas Ultima IX mais j’ai lu que c’est encore plus traître…

Tout ça pour dire qu’Ultima VI et VII (que je lie dans ma tête parce que ce sont ceux auxquels j’ai le plus joué, et aimé, et qu’ils se ressemblent, bien qu’ils ne fassent pas partie de la même trilogie) étaient bieeeen mieux que leurs suites, et sûrement bien mieux aussi que ce qu’on a fait depuis dans le genre (par exemple les Baldur’s Gate), pour cette ambiance spéciale, et l’attachement qu’un joueur pouvait prouver pour les détails du jeu (lieux, personnages, mais aussi chansons, histoires d’amour, tragédies, etc.), en même temps qu’un mode de combat vraiment interactif, qu’on a du mal à retrouver maintenant (choisir la tactique de ses party members en tentant de se placer pour porter le plus de coups possibles, sans bien sûr se trouver dans l’aire d’action des adversaires les plus coriaces).

En résumé, ça n’a jamais vraiment été pasqu’un jeu était vieux qu’il était mieux : mais c’est pasqu’il était bien qu’il était mieux. En fait, c’est juste pasque tous les anciens jeux n’ont pas été améliorés tels quels, et qu’il y a un équilibre de fun, de difficulté, et d’ambiance qu’il faut trouver, et que cet équilibre n’est pas toujours facilité par la technologie : des fois, c’est juste les vieux équilibres qui sont meilleurs que les nouveaux équilibres.

On pourrait faire une analyse de la progression des Elder Scrolls aussi pour voir dans quel mesure le principe est respecté ; pour ma part, je crois que les Elder Scrolls se bonifient avec le temps : mais bon, là je crois que vous avez compris, ça va, pas la peine d’insister, je m’en vais…

lördag, augusti 05, 2006

Blogstalgicware

Un article de Slashdot relaie un article de GamersWithJobs par Cory Banks qui parle de nostalgicware (le nostalgicware c’est la discipline qui consiste à jouer à ou collectionner des jeux qui ne sont plus sur le marché, parce qu’ils sont trop vieux).

En résumé, l’article dit qu’il y a beaucoup de joueurs nostalgiques qui ne jurent que par leurs vieux jeux, avec le cliché « c’était bien mieux avant », et crachent sur les jeux du marché actuel comme ayant perdu l’« originalité » des anciens jeux, et disant que rien ne vaut les jeux d’avant. Mais le point de l’auteur consiste à dire que vraiment, les vieux jeux sont… vieux. Datés. Dépassés. Et qu’on va bien loin pour rejouer à des jeux qui en fait… sont injouables selon les standards d’aujourd’hui, ces standards étant fixés… par les joueurs. C’est-à-dire qu’on a beau dire « oâh ce jeu il était trop bien ! bien mieux que tout ce qu’on peut sortir aujourd’hui ! », on ne voudrait pas y jouer pour rien au monde, pasqu’on le trouverait débile, mal fait, pas assez maniable, pas assez profond, bien trop moche, la musique est minable, etc. etc..

Je trouve l’argument séduisant. C’est vrai qu’il y a de nombreuses occurrences où j’ai été très loin pour installer des vieux jeux que je gardais un jour ou deux avant de les effacer. Pasque le fun, il est vrai, c’est de retrouver une heure ou deux des images d’il y a longtemps.
Mais il y a quand même autchose. Cette autre chose, c’est qu’il y a vraiment des vieux jeux qui avaient quelque chose en plus, quelque chose qu’on ne retrouve pas dans les jeux actuels, même les suites ou les améliorations de ces mêmes jeux. Un bon exemple je trouve, c’est Civilization, de Sid Meier (un démi-dieu, ce type). Civilization était ULTRAMOCHE, avec des pixels gros comme le poing, des graphismes parfois douteux (la légion m’a toujours fait rire : un gros rond et un petit rond dessus, et une croix devant…) des animations minimalistes. Civilization III, auquel j’ai joué y’a pas longtemps, reprend tout le vieil appareil de Civilization, avec des graphismes bien jolis (je trouve… je suis un gamer facile), plus d’unités, plus d’options, plus de subtilités, plus de musiques et de sons… Par contre, il y perd de la balance. Parce que Civilization avait une structure diplomatique minimaliste : tôt ou tard, tout le monde déclarait la guerre au joueur. Civilization III essaie de ruser… et ça rate. Les nouvelles options rajoutent des couches et des couches de gameplay qui ne fonctionnent pas ensemble, qui alourdissent, ou qui font dérailler le good feeling global de la structure originelle. En fait, s’il n’y avait eu que de nouvelles unités, ou de nouveaux graphismes (auquel cas, de toute manière, le III aurait été un suicide commercial), le I aurait toujours été mieux parce qu’il vivait en son temps, qu’il a fondé un genre, une légende, et un standard, et qu’il correspond, en plus, à de nombreux souvenirs, ou plutôt, qu’il recrée une ambiance du passé. C’est-à-dire que pour qu’un jeu soit bien, il ne faut pas qu’un bon jeu.

Un autre bon exemple, c’est Master of Magic. A cette nuance près que MoM n’a pas, lui, de successeur direct. Ce Civilization fantasy avec licence des Forgotten Realms (le monde principal d’AD&D et de D&D) n’a jamais été égalé dans sa dimension de construction d’empire : bien sûr, il a eu une suite commercial, Master of Orion, qui a lui-même eu un successeur, Master of Orion II, qui ont tous les deux amélioré et étoffé le moteur du jeu. Mais MoM en tant que tel n’a jamais eu de successeur (à noter quand même les tentatives, comme Leylines). L’idée de mélanger le tactique (champs de bataille) et le stratégique (carte du monde) est reprise dans des jeux comme la série des Total War ou Knights of Honor (et beaucoup d’autres, sûrement), mais pas avec un moteur de constructeur d’empire (et un bon en plus). Ajoutez à cela des héros comme on en avait l’habitude dans Heroes of Might and Magic. D’ailleurs, Heroes of Might and Magic, comme d’ailleurs Lords of the Realm avaient un peu ce mélange constructeur/armées/héros, mais sans la dimension, la profondeur, le plaisir qu’on avait à jouer MoM. Et j’essaie d’être objectif.

Il y a bien sûr des genres où le neuf égale le mieux, mais je ne suis pas spécialiste de ceux-là : les FPS, par exemple, les simulations de combat, aussi… je ne jouerai sûrement plus jamais à Battle of Britain (Their Finest Hour… : le premier), Battlehawks 1942 ou JetFighter II

Something Blogitive : VII




Aaaaah !! Première guest-star, El Sub-marino Penguino de Chat-Noir, plus précisément sa némésis dans sa guerre contre les pingouins. Vous pouvez aller jeter un oeil ! Et sur le reste du blog aussi... Oubliez pas l'album photo, y'a une mémé qui court !!

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