Blog Seventeen (and try it)
Try Seventeen, film n°3 dans le cycle Mandy Moore. Eeeeh oui, on y est encore.
Voilà, dans le cycle, faut pas que du Mandy Moore. Donc là j'ai choisi (un peu connement, je raconterai un jour) un film où elle a le second rôle. Il en faut aussi. Sinon elle est jamais à la maison et je gueule.
> > > And in the darkness SPOIL them... < < <
Bon, je raconte : Frodo n'a pas tellement grandi depuis qu'il a paumé une rondelle (pas celle que Shagrat lui a pété d'ailleurs) dans les chiottes. Cette fois-ci il a dix-sept ans. Il a le cul bordé de nouilles depuis que Bilbo lui a laissé son portefeuille d'actions pour aller se dorer la pilule aux Turks & Caicos, et il emménage dans une maison à louer (un peu comme ma mienne ici en fait). Bien sûr, il a justement choisi la piaule à côté de celle de Mandy Moore et de celle de Franka Potente. Mais siiii vous la connaissez. C'est la blonde de Matt Damon, dans les périodes où il se souvient plus de son nom ("- Mr. Bourne ? -- Euuh... non c'est à côté").
Parallèlement, il cherche à savoir qui c'était son père (Drogon, donc). Pour l'aider, y'a sa richissime poivrote de mère (euuh... je sais plus) avec laquelle il échange des coups de fil plutôt croquignols.
On l'aura compris, il tâte Moore, la trouve pas à son goût, kissouille l'Allemande et ça ça lui plaît, mais bon il est un peu jeune et elle se casse, et... et... et pas la fin, non. Just'à savoir que la fin est hollywoodienne. Squi est chiant. Comme d'ailleurs plein d'autres trucs qui ont été très justement relevés par Nix. Allez lire Nix.
Et c'est dommaaaaage. La première partie du film est vraiment bien, assez rapide, assez mignonne pasqu'on a des bons personnages, qui méritent tous une mention spéciale donc je vais pas faire de mention spéciale, et de la folie douce du type --un peu, vaguement-- Punch-Drunk Love.
Mais vers la moitié (en fait quand on aborde l'arc Potente), paf ça foère. Dommage.
> > > C'est bon vous pouvez rouvrir les yeux < < <
Je tiens quand même à signaler quelques petits points forts :
Et je ne résiste pas à refiler la réplique qui fait le titre du film :
"It's been three years since I had sex, Jones..."
"...Wow !"
"Did you says "wow" ? Three years and you say "wow" ? Listen, you : three years of celibacy deserve more than "wow". "Wow" doesn't come close."
"Try seventeen."
"What ? Years ?"
"The first twelve are pretty easy."
Voilà, dans le cycle, faut pas que du Mandy Moore. Donc là j'ai choisi (un peu connement, je raconterai un jour) un film où elle a le second rôle. Il en faut aussi. Sinon elle est jamais à la maison et je gueule.
> > > And in the darkness SPOIL them... < < <
Bon, je raconte : Frodo n'a pas tellement grandi depuis qu'il a paumé une rondelle (pas celle que Shagrat lui a pété d'ailleurs) dans les chiottes. Cette fois-ci il a dix-sept ans. Il a le cul bordé de nouilles depuis que Bilbo lui a laissé son portefeuille d'actions pour aller se dorer la pilule aux Turks & Caicos, et il emménage dans une maison à louer (un peu comme ma mienne ici en fait). Bien sûr, il a justement choisi la piaule à côté de celle de Mandy Moore et de celle de Franka Potente. Mais siiii vous la connaissez. C'est la blonde de Matt Damon, dans les périodes où il se souvient plus de son nom ("- Mr. Bourne ? -- Euuh... non c'est à côté").
Parallèlement, il cherche à savoir qui c'était son père (Drogon, donc). Pour l'aider, y'a sa richissime poivrote de mère (euuh... je sais plus) avec laquelle il échange des coups de fil plutôt croquignols.
On l'aura compris, il tâte Moore, la trouve pas à son goût, kissouille l'Allemande et ça ça lui plaît, mais bon il est un peu jeune et elle se casse, et... et... et pas la fin, non. Just'à savoir que la fin est hollywoodienne. Squi est chiant. Comme d'ailleurs plein d'autres trucs qui ont été très justement relevés par Nix. Allez lire Nix.
Et c'est dommaaaaage. La première partie du film est vraiment bien, assez rapide, assez mignonne pasqu'on a des bons personnages, qui méritent tous une mention spéciale donc je vais pas faire de mention spéciale, et de la folie douce du type --un peu, vaguement-- Punch-Drunk Love.
Mais vers la moitié (en fait quand on aborde l'arc Potente), paf ça foère. Dommage.
> > > C'est bon vous pouvez rouvrir les yeux < < <
Je tiens quand même à signaler quelques petits points forts :
- l'écouteur de ska. smarrant.
- les rêves débiles. smarrant ça aussi.
- pantyshots en folie de Moore... ah elle sait être couquine, hein.
- la machine a écrire et la malle... pas mal ça, ça sonne bien. mais mal utilisé.
- les réparties mordantes. ça mord.
- l'OST. j'aime bien ça, j'aime bien. à part une ou deux poppy placées à des endroits stratégiques.
Et je ne résiste pas à refiler la réplique qui fait le titre du film :
"It's been three years since I had sex, Jones..."
"...Wow !"
"Did you says "wow" ? Three years and you say "wow" ? Listen, you : three years of celibacy deserve more than "wow". "Wow" doesn't come close."
"Try seventeen."
"What ? Years ?"
"The first twelve are pretty easy."
0 Comments:
Skicka en kommentar
<< Home